Dessins sur papier de bambou
Aquarelle et crayons de couleurs
ANGÈLE LARGY
NÉE EN 1993 À AVALLON
VIT à Bordeaux
Angèle LARGY est diplômée de l’École supérieure d'art de Valenciennes. Artiste pluridisciplinaire, son travail explore la fusion entre l'art et le monde végétal. Elle crée des œuvres dessinées et des installations éphémères participatives, invitant le public à s'engager. Son objectif est de donner une dimension sacrée à la vie et de sensibiliser à la préservation de la biodiversité à travers des expériences artistiques immersives et poétiques qui évoluent avec les saisons.
Au travers de la série "Entrer en résonance", dans une approche éminemment picturale, dessinée et sensible, Angèle LARGY nous invite à :
- Créer une interconnexion entre l’humain et le paysage
- Stimuler notre engagement écologique et environnemental
- Éveiller l'émerveillement et la sensorialité avec la nature
- Créer des espaces de ressourcement et de retrouvailles avec le vivant
- Sensibiliser aux interdépendances avec les autres formes de vie sur terre
- S’inspirer des formes organiques à l’intérieur de nous et en toute forme de vie.
« Dans chacune des oeuvres, je tends à proposer un voyage délicat au cœur des formes biologiques.
En cette ère de bouleversement climatique, l'invitation de se relier de façon sensible aux différents règnes est nécessaire. En faisant ce pas, nous élargissons notre compréhension du monde et l’habitons avec davantage de conscience. En tant qu'artiste engagée et passionnée de botanique, il est essentiel pour moi de faire des ponts entre l’art et les espaces cultivés ou sauvages pour offrir au vivant la dimension sacrée qui lui revient.
Car en lui, réside toute la beauté qu’un artiste peut offrir : une diversité de formes, de couleurs, de textures, de compositions, de lumière, d’espaces de contemplations, d’imaginaires et d’émotions.
Quand les œuvres sont protégées, à peine touchées et restaurées pour traverser les siècles. Je pose alors la question : comment accorder cette même importance aux fruits des terres sauvages ou cultivées ? » Angèle LARGY